Aujourd'hui en France, près de 25% des chefs d'entreprise de plus de 50 ans ne se sont pas encore posé la question de la vente de leur société. Sauf que la vente d'une société ne s'improvise pas, et si vous souhaitez vendre votre entreprise au meilleur prix, dans les meilleures conditions et en évitant le stress d'une fermeture faute de repreneur, mieux vaut anticiper. Alvo vous donne aujourd'hui 5 conseils pour que tout se passe dans les meilleures conditions !
Garder le rythme en permanence
Les meilleurs process sont ceux qui avancent vite, signe de la détermination du cédant comme du potentiel repreneur à aller au bout. A contrario les process qui traînent en longueur, ou les moindres prétextes sont utilisés pour rajouter quelques semaines de plus dans les prises de décision, se concrétisent rarement. Contrairement à une idée reçue, le temps ne joue en faveur de personne, et chaque délai supplémentaire “coûte” aussi bien au cédant qu’au repreneur.
Bien connaître son environnement et penser stratégie
Quand on gère au quotidien son activité, on a parfois du mal à prendre de la hauteur. Or l’acquisition d’entreprise obéit bien souvent chez les repreneurs à des considérations stratégiques. Avant de lancer un process de cession, il convient donc de prendre le temps de faire une analyse stratégique de son activité et de son environnement concurrentiel afin de mettre en évidence les actifs stratégiques qui pourront intéresser des repreneurs potentiels.
Être transparent / de bonne foi
On peut parfois être tenté d’enjoliver une situation financière ou l’étendue de certains passifs. L’optimisme a ses limites et les mauvaises nouvelles finissent toujours par ressurgir, notamment lors des audits réalisés suite à l’acceptation de la LOI. La confiance patiemment tisée au cours des échanges est alors rompue, ce qui signifie en général la fin des discussions.
Se mettre à la place du repreneur
Contrairement au cédant qui connaît intimement son activité, le repreneur ne dispose pas d’une information complète pour prendre ses décisions et doit faire des choix risqués. Se projeter dans l’état d’esprit du repreneur peut donc permettre au cédant d’imaginer des moyens de réassurance pour diminuer les risques perçus et intégrer des contraintes externes comme le montage du financement de l’opération ou la chaîne de prise de décision côté acquéreur.
Savoir saisir une offre
Si l’on a pu vous conseiller plus haut de ne pas forcément retenir la première offre venue, il ne faut pas non plus attendre trop d’offres ou négocier indéfiniment. Tout est question de timing et un process qui dure en longueur peut finir par faire douter un acquéreur potentiel de votre détermination à céder.
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“REPRENDRE” EST LE NOUVEAU “ENTREPRENDRE”.